Parmi les tumeurs qui sont les plus faciles à traiter en raison de leur position aisément accessible par la bouche sont celles de l’estomac. Des patients que j’ai traités il y a 20 ans ont vécu longtemps, sans mutilation. Certains d’entre eux, parmi lesquels un des membres de ma famille, sont encore en vie.
Administration et dosage : Une cuillerée à thé de bicarbonate de sodium dans un verre d’eau 30 minutes à avaler avant le petit-déjeûner et le dîner pendant 15 jours, ensuite une seulement le matin pendant 30 autres jours, en s’assurant que le patient assume toutes les positions (en pronation, en supination et latéralement) de sorte que le contact avec les sels soit réalisé avec toute la muqueuse de l’organe.
Il peut arriver parfois que le dosage double quotidien provoque des diarrhées, mais la suspension de la dose du soir devrait être en mesure de résoudre ce problème.
Généralement, le sang dans les selles disparaît après 5 à 10 jours, la digestion commence à se normaliser et le sentiment de lourdeur tend à régresser avec pour résultat que le patient réussit à regagner du poids. Tout est assez simple, donc, quand la néoplasie – même de grandes dimensions -, reste confinée à la paroi stomacale et à certains ganglions lymphatiques périphériques.
Dans les cas où il y a une extension visible dans les structures adjacentes – spécialement dans les ligaments – le cancer de l’estomac, devenu impossible à atteindre complètement, devient extrêmement difficile à déraciner. Les colonies en fait ne sont pas touchées par le bicarbonate administré dans l’estomac et servent de réceptacle à une prolifération plus marquée là où elles ne peuvent pas être attaquées. Elles deviennent une position de référence pour toutes les autres, soutenues dans leur combat pour la survie par ces éléments de solidarité biochimique qui sont à la base de la formation et de la progression des masses néoplasiques.
Pour mieux comprendre ce concept, on peut imaginer une grande toile d’araignée formée par de volumineux agrégats dans les coins et des éléments de connexion linéaires qui les unissent et qui servent de moyens de communication entre les cellules.
Quand un élément, une agrégation ou une grande partie de la structure est attaquée, des signaux d’alarme partent d’une des colonies les plus exposées et vont vers celles qui restent en dehors du champ d’action d’une substance toxique de sorte que leurs réactions de défense peuvent s’activer et s’accroître sans limite.
Non seulement ça, mais à travers le réseau cellulaire poreux un déplacement des éléments nucléaires de chaque cellule vers une position sans danger a lieu, avec pour résultat qu’une plus grande concentration de structures nobles reproductives peut travailler sans être troublée, et ces structures ont même le temps de se transformer génétiquement en fonction de l’agent nocif.
C’est de cette manière que toutes les formes de résistance aux médicaments et aux autres composés (y compris le bicarbonate) se développent, même si, quand on en arrive à ce dernier, l’adaptation doit être conçue en termes de résistance aux faibles dosages utilisés dans la thérapie.
Ce réseau biologiquement actif explique de ce fait le phénomène de communication et de défense entre les agrégats, les cellules et les spores, qui peuvent être même tout à fait distants les uns des autres. Il explique aussi le mécanisme des métastases, qui ne sont rien d’autre que de nouvelles masses fongiques qui ont colonisé un organe après leur départ de la colonie mère qui les a nourries.
En présumant, cependant, que la toile d’araignée soit étendue et qu’elle touche de nombreux organes, on peut se demander pourquoi les métastases sont produites graduellement, d’abord dans un seul organe et ensuite dans un autre, etc.
L’explication consiste dans le fait que, aussi longtemps qu’un tissu a de l’intégrité et du tonus – c’est-à-dire qu’il est réactif, aucun enracinement fongique n’est possible. Quand il s’affaiblit pour une grande variété de causes et quand la maladie progresse au-delà d’une certaine limite, il devient plus susceptible à l’attaque et ainsi il peut être colonisé.
C’est la raison pour laquelle les causes principales des métastases sont souvent les thérapies officielles, car elles produisent de tels tissus souffrants qu’elles les rendent sans défense aux champignons. En revenant au cancer de l’estomac, les points qui sont moins accessibles à la thérapie au bicarbonate sont les ligaments, ces bases pour la défense et la régénération des colonies. Si, en dehors des ligaments, il y a aussi une implication des autres organes, spécialement le foie, tout devient encore plus difficile.
Il est de ce fait approprié de traiter la tumeur de l’estomac dès que possible et avec la plus grande intensité possible pour la déraciner complètement une fois pour toutes avant qu’elle soit capable de s’ “organiser”.
La pose d’un cathéter en position périgastrique et d’un autre dans la zone artérielle de la bifurcation iliaque par lesquels il est possible d’administrer le bicarbonate directement dans les masses fongiques peut permettre la régression de la maladie même dans des cas complexes.