Ce patient avec un néoplasme pulmonaire a été confié à mes soins à la fin de 1983, avant qu’il ne soit prévu pour une opération à l’Institut Regina Elena de Rome, où il avait été envoyé par un autre hôpital. Nous montrons les radios avant (Fig.1) et après (Fig.2) la thérapie au bicarbonate de sodium.
A mon opinion, le développement de la masse tumorale, c’est-à-dire de la colonie mycosique, a eu lieu à la suite d’un processus morbide qui avait commencé dans le foie.
Les stades qui ont amené la formation du néoplasme ont été un dysfonctionnement hépatique, une surélévation de l’hémidiaphragme du côté droit, une stase pulmonaire et une susceptibilité à l’enracinement mycosique.
Le traitement thérapeutique a été basé sur deux éléments essentiels : la désintoxication du foie en même temps que l’administration de sels de bicarbonates de sodium oralement, par aérosol et intraveineuse.
La masse a complètement disparu après environ 8 mois de thérapie indolore et sans pertes de sang. Plus d’une année après la fin de la thérapie les radios montraient seulement un épaississement de la scissure interlobaire, qui est le résultat de la guérison. Vingt ans après la thérapie le patient est encore vivant.
Déclaration du patient :
Je, soussigné …. résident à Rome
déclare ce qui suit :
“J’ai fait la connaissance du Dr Simoncini à la clinique Regina Elena de Rome, où il était assistant bénévole et où en 1983 j’étais supposé être opéré d’un cancer du poumon. Comme j’avais décidé de ne pas entreprendre cette opération, au moment de ma sortie de l’hôpital, ce docteur me dit que, si je voulais, je pouvais tenter une thérapie avec sa méthode. La thérapie consistait en administration de bicarbonate oralement, par aérosol et par intraveineuse. Le Dr Simoncini me dit seulement que la thérapie était à l’essai, mais que, d’après lui, je pouvais espérer un possible résultat positif. Il se comportait très simplement et humainement et je compris qu’il pouvait réellement m’aider. Les résultats ont été excellents puisqu’aujourd’hui, 20 ans après, j’ai encore mes poumons.”
Figure 2: Situation avant la thérapie
Les radios montrent un épaississement homogène des marges inférieures régulières et dans les marges supérieures une zone nuancée localisée dans l’aire moyenne pulmonaire droite. La zone cancéreuse avant la thérapie apparaît de couleur blanche.
Figure 3. Situation après la thérapie
Les radios montrent la zone cancéreuse après la thérapie. Dans le contour blanc est montrée la cicatrice qui indique l’élimination du cancer.